La production de brandy en Arménie remonte à 1887, quand un négociant de la guilde supérieure, Nerses Tairyants, construisit le premier établissement vinicole et distillerie du pays sur le site de lʼancienne forteresse dʼErevan.

L'usine était équipée de deux distillateurs traditionnels de type Charentais et l'alcool était distillé selon la technique française classique et disposait d'installations appropriées pour le vieillissement des eaux-de-vie.

En 1899, lʼusine fut acquise par «Shustov & Sons», la célèbre société industrielle russe, et devenait le fournisseur officiel de la Cour russe. Les produits de l'usine ont commencé à recevoir des médailles lors de diverses expositions internationales.

Le goût de lʼArménie

Les eaux de vie ArArAt produites par Yerevan Brandy Company sont légendaires et incarnent lʼArménie, son patrimoine culturel ethistorique. Ce produit est un attribut inaliénable de la vie depuis de nombreuses générations. Et cʼest aujourdʼhui la marque la plus connue et la plus réussie (plus de 90% de notoriété, 70% de popularité) en Arménie et dans le monde.

ArArAt a préservé les traditions de production de brandy depuis 1887. Seules les variétés locales de raisin aux propriétés spéciales sont utilisées dans la production d'un authentique brandy arménien. La méthode de double distillation préserve la saveur et l'arôme des raisins et les transfère dans les eaux-de-vie. Le vieillissement des eaux-de-vie se fait exclusivement en fûts de chêne.

En 2002, lʼusine a reconstruit son industrie de la tonnellerie conformément à la technologie classique et avec du chêne caucasien. Au cours du processus de vieillissement, le spiritueux est enrichi d'arômes naturels de fruits secs, d'épices, de chocolat et de vanille. 

Au cours des cinq dernières années, ArArAt est devenu le leader du marché dans les pays de la CEI dans la catégorie des marques non françaises. 

Le Dvin à 50% d’alcool était l’une des boissons préférées du Premier ministre britannique Winston Churchill. Il l'a d'abord gouté lors de sa rencontre avec Staline et Roosevelt à Yalta. Par la suite, à la demande de Staline, Churchill a ensuite reçu une caisse de Dvin tous les mois. Jusqu'à la fin de ses jours, le Premier ministre était un fervent admirateur de ce brandy arménien légendaire, puisque Dvin est apprecié par les vrais connaisseurs qui peuvent reconnaitre les qualités uniques d'un grand brandy.